Afficher la notice abrégée
dc.contributor.author |
LARBI YOUCEF, Yacine Schemsedine |
|
dc.contributor.author |
BENKERROUM, Riyadh Ibrahim El Khalil |
|
dc.date.accessioned |
2020-01-14T12:35:51Z |
|
dc.date.available |
2020-01-14T12:35:51Z |
|
dc.date.issued |
2019-07-07 |
|
dc.identifier.citation |
ROUBAI CHORFI.N |
en_US |
dc.identifier.uri |
http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/15367 |
|
dc.description.abstract |
Toutes les villes évoluent, suivant des dynamiques multiples. Certaines draines des
populations en quête de confort ou de rapprochement des pôles financiers ou autres.
L’étalement urbain dépend des ressources naturelles ou humaines et des potentialités
foncières. Cette évolution, quelle que soit la forme qu’elle prend, est fortement tributaire
d’une planification préalable soutenue par des instruments d’urbanisme censés être prédictifs
et mener à des plans d’évolution raisonnés et des dispositions proactives.
Cependant, les instruments d’urbanisme en cours en Algérie ont montré leurs limites et ne
cessent de susciter des critiques par rapport à leur rigidité et la forte propension des décisions
autocratiques qu’ils induisent. Parfois, cela dépend également d’une logique de spontanéité
découlant des mouvements ponctuels que connaissent les établissements humains. Cette
problématique de l’échec de l’instrument d’urbanisme est amplement abordé par des figures
marquantes de la réflexion sur la ville algérienne, tel que Rachid Sidi Boumediène, sujet que
nous développerons plus amplement dans le présent mémoire.
Notre approche concerne un cas particulier que nous voulons néanmoins symptomatique des
villes algériennes, notamment celles du littoral. Nous avons, à cet effet, remarqué une mixité
forcée des zones littorales attractives qui, concernées par des POS à teneur d’habitat,
deviennent cependant des lieux de fréquentation touristique dense.
Le cas de la Salamandre à Mostaganem représente ainsi un cas d’école qui mérite un examen
ample et minutieux. Un quartier gigantesque, aménagé dans l’urgence au début des années
2000 sur la base d’un POS malléable et sujet à des mutations multiples et surtout, ponctué de
décisions spontanées émanant des décideurs. Or, ce qui se voulait être un quartier d’habitation
de nature LSP dans le but de résorber la crise du logement est devenu, au fur et à mesure, un
pôle doué d’un magnétisme certain. D’un côté, la Salamandre a fini par recevoir une
population hétéroclite à contre-courant de la logique du LSP. D’autre part, une affluence très
importante de touristes locaux et nationaux en a fait un pôle touristique dynamique ignoré par
les instruments d’urbanisme qui ont conduit à le former.
Comment réagir à cet état de fait ? Qu’elle alternative « raisonnée » pouvons-nous opposer à
l’échec des instruments qui ont conduit à ce pôle dont la mixité est inavouée ?
Notre projet est d’introduire une démarche qui permet de repenser l’existant et de prendre en
charge une mutation profonde du tissu urbain sans impacter négativement la population
établie. Le renouvellement urbain est la solution qui point au premier abord, pour la validité
des opérations déjà effectuées de par le monde et surtout par son efficience directe.
Dans ce qui suit, nous exposons un travail tant théorique que pratique sur un remodelage en
profondeur de la Salamandre dans le but d’arriver à projeter une opération de fusion de la
nature résidentielle du site avec les impératifs économiques et sociaux induits par la forte
attractivité du lieux pour les touristes. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
Renouvellement urbain |
en_US |
dc.subject |
habitat |
en_US |
dc.title |
Le renouvellement urbain comme alternative aux limites des instruments : la Salamandre zone mixte |
en_US |
dc.type |
Other |
en_US |
Fichier(s) constituant ce document
Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)
Afficher la notice abrégée