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dc.contributor.author |
ALEM, Mohammed |
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dc.date.accessioned |
2023-05-15T14:29:57Z |
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dc.date.available |
2023-05-15T14:29:57Z |
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dc.date.issued |
2021-09-12 |
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dc.identifier.uri |
http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/23261 |
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dc.description.abstract |
La mosquée El Aatik d’Ammi Moussa construite en 1878 devra être en urgence considérée
comme un édifice à sauvegarder. Ce patrimoine architectural menacé, qui se trouve dans la
petite ville d’Ammi Moussa est conçu sous la forme carrée en réinterprétant la disposition de
base et la géométrie architecturale des mosquées existantes dans la région, d’un style arabomauresque
avec un minaret magrébin et une coupole arabo-turque. Elle est construite selon des
matériaux contemporains (béton) et ancien (la pierre de taille) qui est disponible dans le milieu
naturel.
Pour créer une intervention directement liée à l’ordre structurel de l’ancienne mosquée, les
techniques de sauvegardes sont très ordinaires et ne nécessitent pas de grands moyens
techniques et instrumentaux. Il faut donc, d’après nos recommandations, les suivre et les
enrichir grâce aux nouvelles technologies utilisées dans les investigations de récupération et de
sauvegarde prescrites par un architecte spécialiste en patrimoine et de sa sauvegarde.
La nouvelle mosquée construite dans les années 2000, constitue un édifice très imposant
menaçant les murs en face de l’ancienne mosquée El Aatik qui sont trop près de 4, 6m, il faudra
donc, l’éloigner de telle sorte que la mosquée puisse être aérer et dégager de toutes nuisances
structurelles et constructives (déversement des eaux pluviales, de la moisissure sur les murs,
des effritements sur le crépissage). Ajoutant à cela l’invisibilité de l’ancienne mosquée. Nous
recommandons la démolition d’une petite partie qui la jouxte et l’usage de sa toiture comme
espace additif de prière (vendredi) en le couvrant par une structure légère en forme d’arabesque.
Au-delà de notre recherche appliquée sur l’ancienne mosquée, l’environnement, quant à sa part,
doit recevoir une nouvelle image paysagère par l’introduction d’un aménagement
complémentaire en fonction de l’apport et des besoins de la communauté (voir les exemples
historiques de la mosquée Hikma au Niger et d’El Nourri en Irak). La mosquée sera convertie
en maison coranique et sera liée à une série de structures nouvelles semi ou presque enterrées à
cause de la topographie du site. Il faut dissimuler toutes gènes visuels qui peuvent entravés la
vue imprenable de la mosquée à partir de la berge de l’oued. C’est structures d’accueil nouvelles
comportent des fonctions annexes à la mosquée : la salle d’exposition, un atelier de vannerie et
d’artisanat, un atelier pour l’association culturelle du patrimoine, une salle d’archive pour les
objets et documents historiques et archéologique de la région, une salle de projection, une salle
de conférence ou de spectacle, une cafétéria et un parking sous-terrain pour 37 places. |
en_US |
dc.description.sponsorship |
ENCADRANTES : Mme. Zoubida MAARAF et Mme. Soumia HASSAM |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
reconnaissance; patrimoine |
en_US |
dc.title |
« MASJID EL AATIK » de Ammi Moussa. Connaissance et reconnaissance d'un patrimoine délaissé |
en_US |
dc.type |
Thesis |
en_US |
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