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dc.contributor.author |
Guerbouz, Narimane |
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dc.contributor.author |
Doudou, Karima |
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dc.date.accessioned |
2018-12-17T13:40:43Z |
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dc.date.available |
2018-12-17T13:40:43Z |
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dc.date.issued |
2016-05-29 |
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dc.identifier.uri |
http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/7132 |
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dc.description.abstract |
Depuis les années 50, les villes portuaires ont connu un mouvement de réaménagement de leurs fronts d’eau et qui s’est propagé à partir des villes nord-américaines sous l’intitulé de « waterfronts revitalisations ». Ce mouvement est venu à la suite de la délocalisation des ports vers leur périphérie car ils n’étaient plus adaptés à l’accueil des navires, dont la taille n’a cessé d’augmenter avec le développement des échanges lié à la mondialisation. Ainsi d’immenses espaces portuaires ont été abandonnés sur les fronts d’eau urbains et sont restés à l’état de friche ce qui résulte une coupure que ce soit visuelle au physiologique entre la ville et le port.
Ce mouvement de réaménagement des fronts d’eau est également appelé « la recomposition ville-port », car il vient après une période de distanciation entre ville et port, un clivage enclenché par la révolution industrielle. Certaines villes notamment les villes portuaires du tiers monde et à cause de leur retard accumulé dans le passé, continuent à vivre ce clivage ville/port comme c’est le cas pour Oran. Dans cette recherche, l’objectif est de mettre la lumière sur la problématique du clivage ville/port dans le cas d’Oran. Antonyme de nature dans les temps modernes, l’activité portuaire et l’activité urbaine ne cohabitent plus en juxtaposition sur le même territoire, le port est considéré comme une source de nuisances, de risques majeurs et de pollution qui nuit à la qualité de vie de
la ville. En contrepartie, la ville par son partage des infrastructures routières et sa juxtaposition
spatiale, est considérée comme étouffante pour le port et nuit à ses performances économiques. À vrai dire, Oran actuellement est le terrain de bataille entre la ville et le port, d’un autre côté, il faut admettre que le port d’Oran est caduc face aux nouvelles exigences du gigantisme naval car il est resté inchangé depuis plus de 50ans et son remplacement est devenu plus que nécessaire au vue des pertes économiques qu’il cause au pays. Face à cette délocalisation envisagée du port d’Oran, et ce clivage que vivent ville et port, la recomposition ville/port sera-t-elle le destin d’Oran à l’image des autres villes portuaires qui lui ont précédé? La recomposition ou la réconciliation ville-port demeure comme l’opportunité ultime pour réaliser ses rêves et dépasser ses problèmes, comme en témoignent plusieurs exemples ainés de réaménagement « waterfront » à l’instar de Marseille, Hambourg, etc. |
en_US |
dc.description.sponsorship |
MEGUEDAD Mohamed El Fadil |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.subject |
Villes portuaires |
en_US |
dc.subject |
port d’Oran |
en_US |
dc.subject |
clivage ville/port |
en_US |
dc.subject |
recomposition ville/port |
en_US |
dc.title |
Réconciliation de l’interface ville/port « Cas du vieux port d’Oran » |
en_US |
dc.type |
Other |
en_US |
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