Résumé:
Je cherchais à comprendre cette dualité ou cet écart entre ce que l’on appelle le génie et la folie et aller du côté de Vincent Van Gogh pour tenter de repérer des indices de comportement similaires chez l’Algérien et le Hollandais, et, avancer cette idée que l’un et l’autre sont habités et rongés par un tourment sans nom, ni fond, ni forme. Tous les deux vivaient dans un état d’intranquilité sourde ou explosive, qui secouait leurs corps et jaillissait à fleur de leur regard, les mettait, au sens électrique du terme, sous haute tension. Puis, la prostration suivait, la mélancolie les enveloppait et les figeait dans leur silence.