Résumé:
Par le fait que la peinture monumentale est un art de l’architecture ; peut-on les penser séparément et parler d’indépendance de l’une par rapport à l’autre? Pourquoi à certaines périodes de l’histoire, de l’Antiquité au début du XXe siècle, s’est-elle associée à l’architecture? La recherche bibliographique sur sa représentation en Algérie, (durant les années Chadli Bendjadid), a démontré qu’elle n’a été presque pas étudiée. Pourtant cette période , c’est imposée sur l’espace publique, par une politique de reconstitutions historiques, et parallèlement par de nouvelles expressions artistiques , qui seront effacées par un blanc badigeonnage. À l’heure de leur disparité, partiellement ou totalement sur le territoire national, ainsi que leur retour massivement durant ces dernières un peu partout dans le monde, et timidement en Algérie ; il y’a lieu d’observer ce phénomène d’origine mexicaine, et qui est plus étudié dans le monde par des esthéticiens et historiens , et pris en charge dernièrement par des anthropologues.