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L’écriture de l’absurde dans Métaphysique des tubes d’Amélie Nothomb

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dc.contributor.author Aïci, Sabrina
dc.date.accessioned 2020-02-03T09:43:10Z
dc.date.available 2020-02-03T09:43:10Z
dc.date.issued 2009
dc.identifier.uri http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/15400
dc.description.abstract Après avoir présenté le roman Métaphysique des tubes de l’auteur belge Amélie Nothomb sous plusieurs aspects, ainsi qu’une analyse de l’œuvre à plusieurs niveaux avec une mise à l’évidence du sentiment de l’absurde qui émane du roman. Nous pouvons répondre à notre problématique qui tend à savoir si le corpus de notre recherche peut être classé parmi les écrits de la littérature contemporaine de l’absurde parut au XX siècle, ou l’auteur Amélie Nothomb raconte dans son roman Métaphysique des tubes ses premiers souvenirs autour de deux ans et demi et trois ans. L’héroïne du roman se prend pour Dieu comme n’importe qu’elle auteur enfant à cet âge là et plus précisément dans le regard admiratif de ses géniteurs. L’enfant se sent le nombril du monde. Malgré ses trois ans l’enfant jette un regard d’adulte sur la société qu’elle trouve fascinante. D’abord, dans le premier chapitre, lors de l’étude narratif qui a révélé qu’il n’y a pas eu anéantissement des trois unités (temps, lieu, action) et que l’auteur a suivit un canevas habituel pour la construction de son roman. C’est dans l’analyse du discours que nous avons pu dégager l’aspect de roman de l’absurde grâce a un style bien propre a l’auteur. L’humour est le style qui règne sur le roman mais malgré sa perspicacité nous arrivons à ressentir cette note de tragique d’une enfant de trois ans qui ne sait pas si elle est heureuse ou pas. Une enfant de trois ans qui prend conscience du caractère machinal et mortel qui régit l’humanité, une enfant de trois ans qui songe au suicide pour trouver le bonheur dans la mort. L’épisode des deux noyades est un événement tragique mais décrit d’une manière envoutante. Peut être que l’auteur voulait tenter ses lecteurs à gouter au délice du suicide Nothombienne. Tout au long de notre analyse du discours ; nous avons relevé les expressions et les figures de style qui traduisent l’absurde dans le roman sans oublier les caractéristiques d’un personnage à plusieurs facettes ; car l’auteur du roman est au même temps narratrice dans la même œuvre ou elle reprend ses trois première année et raconte son enfance a travers le regard d’une petite fille. L’héroïne du roman vit au Japon et a entre zéro et trois ans. Ce qui fait d’elle le personnage le plus jeune dans toute la littérature de l’absurde. Mais c’est surtout le style et l’humour noir qui régit la totalité de l’œuvre que nous pouvons dire que l’œuvre d’Amélie Nothomb peut s’inscrire parmi les œuvres de l’absurde car d’après Clément Rosset dans son œuvre Schopenhauer, philosophe absurde confirme que le comique et la manière de voir l’absurde de la condition humaine et déclare dans l’extrait suivant : « L’homme du divertissement, chez Schopenhauer comme chez Pascal, préfère un sérieux dérisoire à une angoisse véritablement sérieuse ; il veille en conséquence, à chasser de sa conscience toute forme inquiétante. » 15 L’humour devient alors l’ingrédient essentiel de la littérature de l’absurde utilisé par Nothomb comme par Kafka. Les deux tentent d’expliquer l’inexplicable et de communiquer l’incommunicable dans un langage comique en s’amusant de ce qui n’est pas risible. en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.publisher Mokhtar ATALLAH en_US
dc.subject l’absurde, Métaphysique, d’Amélie Nothomb en_US
dc.title L’écriture de l’absurde dans Métaphysique des tubes d’Amélie Nothomb en_US
dc.type Thesis en_US


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