Résumé:
Les établissements scolaires algériens peuvent être perçus comme une seconde demeure où l’éducation et l’apprentissage ne font qu’un. Les apprenants qui se rencontrent dans ce lieu de dévotion cognitive, partagent entre eux de nombrable point en commun et vivent dans le même terrain géographique, ils ont à peu prés les mêmes normes culturelles et vivent une situation sociale commune. Ces mêmes apprenants doivent susciter leur implication dans de différentes situations de communications lors de leur apprentissage au
FLE et c’est là où nous observons une irrégularité dans les résultats de leur évaluation.
L’apprentissage de la langue française devient alors une compétence qui s’acquière facilement pour certain mais pour d’autres ce n’est point le cas. Mon travail-ci présent vise à étudier l’apprentissage/enseignement du FLE dans le lycée Mohamed Khmisti ainsi que tout ce qui englobe la dimension socio-culturalité de ses apprenants. Notamment les relations entre apprenant et enseignant. Il vise particulièrement à voire si les parents contribuent au développement et au sucée de leurs enfants ou à leurs inintérêt et leurs échecs dans l’apprentissage de cette langue étrangère. (introducction de l'auteur).