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dc.contributor.author |
MEHIDI, Faiza |
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dc.date.accessioned |
2024-05-19T08:35:16Z |
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dc.date.available |
2024-05-19T08:35:16Z |
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dc.date.issued |
2024-04-18 |
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dc.identifier.uri |
http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/26456 |
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dc.description.abstract |
Le roman noir, en tant que genre romanesque, constitue un terrain propice susceptible de cerner la
problématique des représentations sociales. Notre étude comparative des romans noirs : Et on tuera tous
les affreux et Elles se rendent pas compte de Boris Vian avec Le Dingue au bistouri et Qu’attendent les
singes de Yasmina Khadra, se révèle fructueuse, tant sur le plan socioculturel et historique qu’esthétique.
Au travers de l’analyse de la poétique, nous avons mis en relief les points de convergences et de
divergences propres à deux contextes différents ; français et algérien. L’itinéraire des deux auteurs, leurs
engagements et leurs visions sont déterminants pour mieux cristalliser leur singularité. En outre, les
personnages féminins et masculins incarnent deux imaginaires : oriental et occidental. Aussi, les tares
sociales décelées, expriment-elles une dénonciation des maux qui rongent la société moderne. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
l’Université de Mostaganem |
en_US |
dc.subject |
Roman noir, Représentations sociales, Tares sociales, Personnage, Masculinité, Féminité, imaginaire, Fiction, Récit |
en_US |
dc.title |
Représentations sociales dans Et on tuera tous les affreux et Elles se rendent pas compte de Boris Vian, Le dingue au bistouri et Qu’attendent les singes de Yasmina Khadra |
en_US |
dc.type |
Thesis |
en_US |
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