Résumé:
L’amélioration de la qualité architecturale en Algérie constitue aujourd’hui un enjeu
majeur, d’où le tissu colonial du la fin du 19ème et début de 20ème est considéré comme l’un des repères de nos villes, qu’il reflète une qualité urbaine architecturale à inspirer.
Ce tissu occupe une partie non négligeable de notre parc immobilier et contribué fortement à la définition de l’image urbaine de nos villes, Le secret de cette qualité architecturale de tissu colonial que possède l’Algérie actuellement et qui continu à résister jusqu’au nos jours est traduit comme objet d’étude et le centre d’intérêt de plusieurs recherches. L’identification de ce patrimoine architectural et le répertoire des caractéristiques formelles et structurelles des différents styles architecturaux qui se sont succédés pendant cette période ,notre intervention s’inscrit dans le cadre d’une réflexion qui vise à sélectionner un ensemble des principes et des critères afin d’identifier cette qualité architectural, l’objectif principal de notre étude est d’essayer de répondre aux l’ampleur de détérioration de la production urbaine en prenant l’exemple de la qualité architecturale du centre-ville de Mostaganem avec laquelle on va tirer des critères pour améliorer notre cadre bâtis des nouvelles extensions. L’ensemble des résultats obtenus prouve que la qualité architecturale de tissu colonial est due à la confusion entre deux disciplines, la première c’est l’urbanisme par une répartition équilibrée entre ;habitat et équipement, le bâti et le vide ,aménagement et aération des espaces par des placettes proportionnelles, ainsi que l’exploitation de la notion de la symétrie, toute on essayant d’avoir une meilleur lecture de ce tissu urbain, Tandis que la deuxième discipline c’est l’architecture par l’originalité d’où chaque immeuble possède son propre architecture,
ainsi que la hiérarchisation aux étage : chaque étage n’est pas identique aux entre, marqué par l’ornementation des façades.