Résumé:
Ce mémoire porte sur une connaissance d’un nouveau rebondissement dans le
monde de l’astronomie et de l’astrophysique. Onde gravitationnelle ou déformation
de l’espace-temps, est la nomination de ce nouveau champ de recherche. Considéré
comme une affirmation de la théorie d’Einstein, cette expérience mérite d’être avisée
et réfléchi, car l’effet qu’elle l’aura sur notre compréhension de la gravitation et de
l’univers est d’une ampleur sans précèdent.
Notre étude est la première tentative à vouloir accueillir cette expérience dans
le pays tout en tenant compte de la carence de l’activité astronomique actuelle en
Algérie, notamment en infrastructures. Actuellement, l’observatoire d’Alger demeure
la seule infrastructure astronomique permanente de l’Afrique du nord, qui fut un des
grands observatoires de la période coloniale. Ce mémoire vise à combler cette
lacune.
Par ailleurs, tout en attirant l’attention sur le fait que l’astronomie et
l’architecture sont en contact étroit et ce depuis la nuit des temps, nous démontrons
que les premiers hommes étaient sûrement intrigués par les phénomènes célestes et
étaient partagés entre peur et admiration pendant les éclipses du Soleil ou lors du
passage de comètes brillantes, que cette drôle de fascination s’est même traduite en
leur architecture.
Ce travail propose d’esquisser à travers un projet architectural, s’intitulant
« Institut Algérien d’Astronomie Gravitationnelle » la jonction entre le bâti, le ciel et
l’homme, une combinaison entre architecture et astronomie, en donnant naissance à
une structure qui, de par son aspect formel, concrétisera cette combinaison et
fonctionnellement sera en mesure d’accueillir la nouvelle ère d’astronomie
gravitationnelle.