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Réhabilitation de l’ilot du jardin Emir Abdel kader

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dc.contributor.author Bekkadra, Ismail
dc.contributor.author Tadmoute, tayeb sofiane
dc.date.accessioned 2019-01-14T14:25:23Z
dc.date.available 2019-01-14T14:25:23Z
dc.date.issued 2016-05-31
dc.identifier.uri http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/8472
dc.description.abstract La ville de Mostaganem est l’une des villes algériennes, jouissant d’un patrimoine matériel (architectural, naturel,….) et immatériel riche relevant de la période ottomane et coloniale française, elle compte à cet égard 423 espaces verts répartis entre parcs urbains et périurbains, jardin public, les jardins collectifs et /ou résidentiels, Les alignements situés dans Zones Urbaines et une forêt urbaine jardin, tout court, malgré l’Histoire et les histoires qu’il traine derrière, depuis l’aube de la colonisation française :  de par sa situation, occupant l’hyper centre de ville, facilement repérable par la grande mairie et son architecture monumentale outre le dôme3 de Sidi Said  Son capital végétal centenaire et variée en l’occurrence, les éternels Ficus Macrophylax et Rétusa, qui trônent depuis des lustres sur les lieux.  cet espace urbain exclusivement public, jadis fortement visité par les familles, aujourd’hui se trouve en mal d’être et livré à une dégradation continuelle et reflète une image d’un délaisser urbain, foyer d’agression est devenu infréquentable car procurant l’insécurité.  Les quelques interventions locales restent ponctuelles et timides sans une vision globale et intégrale, n’ont pas pu lever cette image identitaire sombre à ce site d’étude, ternie davantage par les aléas du temps et des actes de vandalisme complètement gratuits.  Depuis qu’il était une immense promenade publique joignant l’antique porte de Mascara à Beymouth en longeant la route de Relizane. Les habitants du Belvédère et du Haut-Beymouth en font un raccourci vers le ‘’Bled’’, le centre-ville de Mostaganem en l’occurrence, l’îlot du Jardin Bent erray constitue un nœud emblématique et un réel carrefour qui a bénéficié d’une valeur ajoutée grâce au passage de la ligne du tramway en cours de réalisation ainsi que les travaux de rénovation de la gare du chemin de fer. toutefois, dans l’état de fait actuel, ce site ne peut jouer son rôle pleinement en tant que tel. Cette dégradation semble guetter l’ensemble des espaces verts de de la capitale de la Dahra qui ressemble beaucoup plus à des dépotoirs plutôt qu’aux lieux de balades et de détente. Il suffit de faire un tour au parc d’El Arsa4 et autres espaces verts conçus au niveau des cités, à l’exemple de la cité 5 juillet, l’INES, des 300 et 800 logements du quartier kharouba (voir figuren : En fin, selon la circulaire EV1 du 7 octobre 2007 relative à la gestion, à la protection et au développement des espaces verts, la superficie consacrée aux espaces verts, reste relativement faible et ne représente que 1 m2 par habitant alors que les normes internationales sont de 10 m2 par habitant. La ville de Mostaganem avec ces 423 espaces verts, et occupe la 1ère place au niveau national en terme de quantité mais pas en terme de ratio qui est de l’ordre de 0,18 m²/ habitant ce qui traduit que le végétal dans cette ville devient un signe de résistance à l’urbanisation galopante et à l’imperméabilisation généralisée de son sol urbain. en_US
dc.description.sponsorship Bouchaar en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.subject Réhabilitation en_US
dc.subject îlot du Jardin en_US
dc.subject El Emir Abdelkader en_US
dc.subject espace vert en_US
dc.subject héritage culturel en_US
dc.subject jardin en_US
dc.subject patrimoine naturel en_US
dc.title Réhabilitation de l’ilot du jardin Emir Abdel kader en_US
dc.type Other en_US


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