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dc.contributor.author |
بلعيد, نهى |
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dc.date.accessioned |
2019-01-30T20:00:17Z |
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dc.date.available |
2019-01-30T20:00:17Z |
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dc.date.issued |
2017-12 |
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dc.identifier.issn |
2437-1181 |
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dc.identifier.uri |
http://e-biblio.univ-mosta.dz/handle/123456789/9233 |
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dc.description.abstract |
Certains tunisiens résidents en Tunisie ou ailleurs ont trouvé dans la blogosphère une solution pour critiquer le régime mis en place. « Ammar » inventé en 2007 par le bloggeur « Titofe » est le pseudonyme qui désigne la censure incarnée par l’Agence Tunisienne d’Internet « ATI ». (…) Utiliser ce prénom pour désigner l’institution de la censure, c'est-à-dire l’ATI, cela dénote une volonté d’abaisser ce pouvoir et le présenter comme un personnage brutal, inculte qui ne peut qu’interdire violement. (…) En 2007, l’ATI a commencé la censure des blogs jugés dépassant les limites et touchant à des sujets interdits» (CHEBBI, 2013). Or, face à cette censure illimitée, les bloggeurs se sont placés sur Facebook après avoir trouvé un nouvel espace pour s’exprimer plus librement. « Ainsi le réseau social le plus populaire en Tunisie, aura permis à la blogosphère tunisienne de conquérir des espaces nouveaux et un public plus large |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
المجلة الدولية للاتصال الاجتماعي |
en_US |
dc.subject |
blogosphère tunisienne;jeunes journalistes;médias sociaux |
en_US |
dc.title |
Pratiques Des Jeunes Journalistes à L’ère Des Médias Sociaux |
en_US |
dc.type |
Article |
en_US |
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